samedi 6 septembre 2008

ailleurs... toujours plus loin...

voila bien longtemps que je n'avais pas écrit ici...
tant de choses ont changé dans ma vie, tant de choses qui n'était pas écrites et qui appartiennent désormais au passé, pour mieux construire encore un autre avenir...
retrouvailles inattendues, nouveau rythme et cadre de vie, vieilles angoisses toujours aussi omniprésentes, d'autres projets à construire, encore et toujours, tout ce qui fait de la vie un terrain de jeu qui se renouvelle sans cesse.
je vis, je respire, je m'inspire en pouvant être enfin fidèle à celui que je pense être, sans me soucier désormais du qu'en-dira-t-on. Changer de vie m'a enfin permis de libérer de certaines de mes chaines et de prendre un nouveau départ.
Rien n'est acquis, tout reste perpétuellement à construire. Mais je suis plus serein maintenant, plus sur de moi que jamais, pour continuer la route, toujours un peu plus loin.

ps : une nouveau chemin en parallèle s'est ouvert pour moi, c'est ici ---> "chasseur d'images"

jeudi 7 février 2008

bientôt un autre ailleurs

enfin...
après 6 années d'épreuves en tout genres...
6 ans de boulversements...
ce nouvel ailleurs ce dessine, encore incertain, mais il est tangible.

ce ne sera pas un nouvel ailleurs spirituel mais bien physique cette fois.
et un nouvel ailleurs qui ouvrira de nouvelles portes, de nouveau horizons.
de nombreuses choses restent encore vagues, ou hypothétiques...
d'autres seront toujours là...

une certaine forme de changement était nescessaire,
notamment dans notre quotidien...
on va enfin pouvoir...
allons de l'avant...
vers de nouveaux ailleurs...

mardi 29 janvier 2008

paranoïa - ou comment se faire peur tout seul...

qu'est ce qui m'a pris ?
qu'est ce qui m'est passé par la tête ?
pourquoi ce délire m'a entrainé si loin ?
pourquoi j'ai rejeté ma déception sur le monde entier ?
je ne sais plus si je vais bien dans ma tête.
non je ne vais pas bien...
ça fait des mois que je ne vais pas bien...
je fuis...
tout le temps...
je fuis le quotidien,
je fuis mes instincts,
je fuis cette lassitude,
je fuis la réalité d'un monde dans lequel je ne trouve pas ma place.
je me laisse aller à mes rêves,
je me laisse aller à rêver une vie,
pour mieux oublier celle-ci qui ne m'apporte rien.
je n'ai plus d'espoir dans cette vie,
à force de vouloir ne pas être dans la norme, j'en arrive a ne plus me comprendre moi-même.
j'en arrive a me lobotomiser l'esprit pour ne plus voir ce qui m'entoure,
et fuir ces rêves qui ne m'apportent que déception quand je reviens au monde réel.
cette fois-ci, la vérité a été toute autre.
le rêve c'est transformé en cauchemard,
et j'y ai cru.
je tombe...
je ne crois plus en moi-même.
je me demande ce que je fous encore la.
je ne sais plus.
plus envie de rien.
à quoi bon ?

vendredi 4 janvier 2008

sombres horizons.

début d'année plus que morose,
rien ne va, tout s'en va...

tout fous le camp dans ma tête,
je ne sais plus ou j'en suis...

je ne m'intéresse plus à rien,
ma tête bien est vide...

vide de sens comme mon existance,
faite de grands n'importe quoi...

c'est comme un cap indispensable,
ou tout est remis en question...

ou tout dans ma vie,
semble être arrivé à sa fin...

le moment peut-être justement,
de tout remettre en cause...

revoir la copie de ma vie,
pour mieux repartir ensuite...

mardi 9 octobre 2007

escapade mentale

je suis assis, à mon bureau, sensé travailler, me concentrer sur tel ou tel dossier...

mais mon esprit prend le large, dans le vague, divague, dans d'autres ailleurs...

depuis quelques temps, je m'envole un peu plus souvent, un peu plus longtemps chaque jour...

je me déconnecte, loin de ces mirages de la vie de tous les jours...

je laisse mes pensées flotter au loin dans ces contrées imaginaires...

mon corps se laisse oublier, n'étant plus qu'une fine pellicule qui me rattache à ce monde...

j'explore l'au-delà de mes songes intemporels, si fervents d'irréalité...

je plonge dans ces lointains ailleurs si changeants....

kaléïdoscope onirique libre dans l'espace intemporel...

je m'évade....

lundi 17 septembre 2007

cet univers lointain

je vole...
m'envole...
au loin...
dans cet univers lointain...
peuplé de rêves...
et de chimères...
là ou l'aube rejoint la nuit...
parcours intiatique...
envolées lyriques...
telles un papillon de nuit...
mon esprit dérive...
sur les brumes de rêves...
paysages sauvages...
contez-moi ces voyages...
qui me font oublier...
ces souffrances...
cet ennui...
de cette vie infame...
de ces gens qui condamnent...
avec pour seul jugement...
la perversité de leur âme....
chers ailleurs...
emmenez-moi...
dans ces contrées lointaines...
lâ ou je serais réellement...
moi-même...

lundi 20 août 2007

amertume d'un jour de pluie

rentrée...
retour au boulot...
pluie...
vent...
mauvais temps...
humeur sombre...
vacances déjà lointaines...
morne journée...
comme si rien ne c'était arrêté...
froid...
travail...
encore et toujours...
la même ritournelle...
piano mécanique détraqué...
rien n'a changé...
s'éloigner de tout ça...
encore...
et toujours...
retour à mes univers...
retour de la noirceur...
retour à mes racines...
douce mélancolie...
donne-moi l'envie...
la force...
et la patience...
d'écrire...
de composer...
de me surpasser...
dans mon univers...
chaque jour...
un peu plus....

mercredi 11 juillet 2007

se perdre, encore et toujours...

je me noie, encore un peu plus chaque jour, dans mes rêves les plus profonds, dans un imaginaire insondable, si profond que je m'y perds.
mon esprit part à la dérive malgré moi, dans des abysses inconnues, loin, très loin de la réalité du monde telle que vous la percevez.
je joue un jeu de dupe avec moi même, me cachant derrière cette facade qui me pourrit la vie, un peu tous les jours, pour mieux plonger au coeur de mes fantasmes.
ce laisser-aller mental m'évade de cette odeur nauséabonde de faux semblant, que je m'efforce de vivre.
et dans le même temps, mon moi intérieur est déja contaminé par ces relants d'ennui qui rythment mon quotidien..
je laisse mon ame, au diable peut-être, m'emporter loin de ces turpitudes singulières que vous nommez machinalement, mécaniquement, la réalité quotidienne.
je me perds dans les méandres de ce labyrinthe sans fin, dans une autre réalité, voire plusieurs.
ces rêves sont pour moi l'essence même de mon être, de mon moi. sans eux je ne serais rien.
il n'y a que cette dure réalité pour m'empêcher d'aller plus loin, de me décorporer dans ces mondes immatériellement oniriques.
ces mondes dans lesquels je me sens si bien.
où je me sens vivre.
mes mondes à moi...

jeudi 5 juillet 2007

comme un tourbillon...

une fois de plus, je me suis fait happer par la vie, engourdi du froid du quotidien...
et je me réveille, doucement mais surement,je prend conscience de tout ce que j'aurais pu faire...
j'ai remis les pieds dans le plat, les idées et les envies me sont revenus dans la tête, ça bouillonne, ça tourbillonne, ça foisonne...
ça ricoche dans tous les sens, plein de sensations commes des couleurs, des sons, des idées, des réflections, des envies...
ça n'arrête plus, ça m'accapare intérieurement, même si exterieurement il n'y parait pas.
j'en reviens a ces envies pressantes, que rien n'arrête, ces envies de construire quelquechose de neuf d'original, une musique à l'état brute qui me sors des tripes et qui bouscule tout sur son passage.
c'est tant de choses a la fois que j'en dors mal, tellement je m'ennivre de ces pensées.
ça n'arrête plus...
même écrire devient simple, les mots coulent tous seuls, de mes doigts, de ma bouche, de ma main...
et ce quotidein, toujours omniprésent qui tente de bloquer cette exhubérance de sensations... sans y parvenir, n'arrivant qu'a loger que quelques appartés dans mes songes...
des songes...
ma vie...

lundi 4 juin 2007

prise de conscience tardive.

la vie que je mène ne me convient plus...
je crois qu'elle ne m'a jamais convenue...
j'ai l'impression de devoir renier mon être pour survivre...
de devoir éliminer de moi tous ces rêves incensés, toutes ces utopies...
je me meurt paisiblement pour ne laisser qu'une carcasse vide...
même les sentiments les plus nobles me semblent fades....
je ne vis plus pour rien...
juste survivre en attentand...
une renaissance hypothétique...
juste attendre un autre début...
ou une autre fin...
juste attendre...
je m'ennuie....